mercredi 22 juin 2016

La femme parfaite est une connasse (tome 2 - le retour) de Anne-Sophie Girard et Marie-Aldine Girard




« Nous aurons alors une pensée émue pour nos conjoints qui nous répètent à longueur de temps : "Non, c'est par là !", pour s'entendre répondre, avec une mauvaise foi absolue : "Oui, ben ça va, je sais !" »



J'ai lu - 22 octobre 2014
157 pages
Humoristique
Auteur : Anne-Sophie Girard & Marie-Aldine Girard



Ma note : 17/20




La femme parfaite est une connasse - Tome 2 le retour

Voici enfin la suite tant attendue de "La femme parfaite est une connasse !". Pourquoi une suite ? Mais parce que la connasse ne meurt jamais !
Avec humour et légèreté, les auteurs continuent de s'attaquer à celle qui les fait tant culpabiliser : le "femme parfaite".
Vous y découvrirez de nouvelles théories telles que le "frisson de la honte" ou la technique du "tiré/décalé", mais vous apprendrez aussi "comment reconnaître l'homme parfait", "comment savoir qu'on ne vit pas dans une comédie romantique américaine", ou le concept universel du "mec à trois bières".
Bref, tout ce qu'il faut pour assumer enfin votre imperfection !



Mon avis

J'avais beaucoup aimé le tome 1 et je savais que je lirais le tome suivant. J'ai trouvé ce mois parfait pour cela. 

Encore une fois, comme dans le tome précédent, de l'humour, de l'humour et encore de l'humour. Ce livre fait passer un moment très agréable et drôle. Parfois quand je lisais, j'avais un peu l'impression de regarder un sketch de Florence Foresti. Ça part dans tous les sens et c'est un pur plaisir !

Dans ce tome, j'ai aimé les petites remarques sur les enfants, je ne me souviens pas si dans prédécesseur il y en avait mais, cela à apporté un peu de maturité au récit que j'ai beaucoup apprécié.

Si je devais donner un point négatif à ce livre, c'est qu'il est beaucoup trop court ! Une fois commencé, le quitter est difficile. Il apporte un moment de lecture très plaisant.



« La femme parfaite n'est pas comme nous, elle n'est pas faite comme nous. (Nous la soupçonnons même de ne pas être humaine... Mais c'est un autre débat.»